ALAIN RIVIÈRE

J'ai toujours aimé les dames, responsables, travailleuses, courageuses, supérieures à l'homme.
Monique Cucheval était ma cousine et ma marraine. Malgré son caractère parfois difficile d'abord, je m'entendais bien avec elle, et elle représentait tout cela pour moi. Elle savait entraîner naturellement derrière elle, des hommes et des femmes. Elle ignorait tous les problèmes de la femme, obligée souvent de se battre, pour faire valoir qu'elle est aussi capable que l'homme d'organiser, de diriger, mais souvent écartée de toute responsabilité, sous le seul prétexte qu'elle est une femme.

Monique Cucheval avait beaucoup de passions, de nombreuses occupations bénévoles, au service des autres, ses amis, sa famille.

Dès son décès, j'ai tenu à écrire cette biographie, pour qu'autant dans la famille, que dans son entourage de travail, d'élue, de voisinage, d'ami, on n'oublie jamais Monique Cucheval, et qu'autour de nous tous, on la montre en exemple.

Avec Monique, c'est aussi une grande page de ma vie, et de l'histoire de la famille qui est disparu.

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